Canthare en bucchero nero muni d’un pied « en trompette » (a tromba) et de deux hautes anses surmontant le bord. Ressaut extérieur de la vasque souligné d’une rangée d’encoches, le rebord de la lèvre de deux stries parallèles.
Tasse à vernis noir, aux anses en anneau positionnées à la verticale. La lèvre légèrement évasée est décorée par deux fines striures horizontales et parallèles. La partie inférieure du vase, à partir des trois-quarts de la vasque, est réservée à l’exception de deux filets. Le pied verni est marqué par une série de moulure.
Canthare à vernis noir et panse carénée décorée de godrons ; la lèvre présente un rebord externe de section plate, légèrement concave, et le pied tronconique est mouluré. Les anses bifides du vase, dont la hauteur n’est pas supérieure à la lèvre, sont ornées d’un noeud, l’un d’eux étant fragmentaire. Sur les deux faces du col, un décor de motifs en peinture blanche et jaune : sur l’une une branche de laurier, sur l’autre une frise végétale de feuilles de lierre ou de vigne.
Coupe-skyphos à vernis noir. Anses verticales fragmentaires et pied annulaire réservé. Sur l’extérieur de la vasque le décor est peint en blanc : sur une face, une frise incisée d’oves ramassés dirigés vers le bas, deux filets puis un décor effacé de guirlande de feuilles et de pampres de vigne en alternance ; sur l’autre face, les restes d’une frise végétale dans la partie haute de la vasque.
Oenochoé à embouchure trilobée, entièrement vernie à l’exception du bas de la panse et du fond qui présente un pied annulaire plat souligné d’un filet brun.
Situle à vernis noir dont le bec verseur prend la forme d’une protomè de lion en relief. L’anse et la lèvre sont soulignées par une série de rainures parallèles.
Lampe à huile moulée en terre cuite, de production africaine (Loeschke VIII38) ; sur le disque, privé de trou d’évent, un animal (vraisemblablement un ours) marche vers la droite ; le bandeau est privé de décor, alors que le bourrelet est doté d’une simple incision, tout comme l’anse, avec rainures. Sur la base de la lampe, en parfait état de conservation (seul le bec est brisé), figure une inscription, C VAL·QVA.
Lampe à huile moulée (Loeschke VIII) sans décor, dotée d’un large trou sur le disque ; le bec est rond et l’anse lisse ; des traces de peinture rouge sur le bandeau et la base montrent que la lampe était recouverte d’un engobe rouge.
Éclat de verre arrondi (paroi de coupe ou verre) avec traces de dorure à la feuille avec lettres grecques ; seule la terminaison -ΙΛΟΥΝ semble lisible.